Les thèmes du musée

La forge

Cette forge appartenait à Elie Chamberet, dernier forgeron à Neuvialle, qui l'a utilisée de 1930 à 1970 environ. Puis son fils Charles l'a utilisée lors de démonstrations. Elle a ensuite été déplacée en intégralité dans le musée en 2019. La forge comprend les outils du forgeron et les objets réalisés.

Le travail du bois : le sabotier

Exposition des sabots et des outils du sabotier

Le travail du bois : le menuisier

Exposition de divers outils pour travailler le bois

Le travail du bois : le bûcheron

Exposition de divers outils utilisés par le bûcheron

Les travaux d'été : la fenaison

Période où l'on fait les foins, coupe et récolte de l'herbe séchée

Les travaux d'été : la moisson

Période où l'on récolte les céréales comme le blé, le seigle, l'orge, le blé noir ...

Le labour

Travail de la terre avec la charrue

La lessive

Exposition des ustensiles nécessaires pour laver le linge

Le pain

Exposition des ustensiles nécessaires pour la fabrication du pain

Le filage :

Exposition des ustensiles employés dans le filage du chanvre et de la laine

Le cantou

Exposition des objets utilisés autour et dans la cheminée

Les mesures

Objets pour déterminer les longueurs, les poids, les capacités

Les objets de la ferme

Exposition de différents objets qui étaient utilisés dans la vie de tous les jours à la ferme.

Les accordéons

Orliac-de-Bar a vibré au rythme de violoneux talentueux, dont Elie Chamberet, père du donateur Charles qui a permis la réalisation du musée que vous découvrez. Les airs de musique traditionnelle (polka d'Orliac de Bar, bourrée : les garçons de Neuvialle...) étaient régulièrement interprétés lors de mariages, bals etc... et permettaient aux musiciens invités de confronter leur savoir-faire et techniques de jeu au violon principalement.

Cette petite collection d'accordéons (une partie est privée, l'autre des dons ) symbolise la place qu'occupait la musique traditionnelle dans la vie de la commune et au-delà, car la musique voyageait et s'invitait en échange d'un bon casse-croûte bien arrosé. Elle reste de nos jours encore bien vivante et interprétée à l'accordéon par des groupes de musique folklorique ou des passionnés locaux (certains morceaux sont accompagnés de paroles en patois relatant des histoires vécues et souvent assez cocasses !).

Cela fait partie intégrante de notre culture et perdure grâce à la fabrication séculaire des accordéons Maugein, repreneurs de l'entreprise briviste Dedenis dont 2 spécimens datant de 1880 sont exposés dans le musée.